Les Pyrénées Atlantiques

 Nous sommes partis de St Jean d'Angély alors que le brouillard se levait. Néanmoins quelques nappes étaient encore persistantes sur la route. A Bordeaux nous avons du quitter l'autoroute, bloquées par les barrages des agriculteurs. Un petit tour dans les vignes... Il y avait beaucoup de camions sur cette petite route dans les deux sens. De retour sur l'autoroute, que nous ne prenons, généralement, qu'à partir de Bordeaux le soleil nous faisait face. 

Nous voici à Irun, juste en frontière espagnole où il fait vraiment chaud : 23 degrés à l'abri. Demain nous passerons la frontière.

“La paix n'a pas de frontières.”

Yitzhak Rabin, (1922-1995), militaire et homme d’État israélien

Nous sommes à Irun

Les Pyrénées sont en vus !

À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !

Une première étape

 Pour éviter la circulation aux heures de pointe, nous avons pris la route à 4 h 45. La nuit était noire, le ciel était sans étoile.

Nous avons contourné deux barrages de manifestations des agriculteurs. À  la sortie de Nantes, il "mouillassait", il faisait toujours nuit. Aux alentours de La Roche/ Yon, il y avait vraiment beaucoup de circulation en sens inverse, des véhicules qui contournaient des barrages également. C'était vraiment pénible pour mon chauffeur, sur le bitume mouillé, la réverbération des phares nous aveuglait. Lorsque le ciel a fini de nous envoyer de l'eau, le soleil se levait pour aussi nous éblouir.

Nous voici arrivés à St Jean d'Angély, vous savez, notre aire habituelle ! Il fait vraiment beau, pas un brin de vent et le thermomètre affiche 14 degrés à l'abri à 13 heure.

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«Le voyage est une espèce de porte par où l’on sort de la réalité comme pour pénétrer dans une réalité inexplorée qui semble un rêve”

Guy de Maupassant, (1850-1893), écrivain et journaliste littéraire français

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Un rond-point à St Hermine (85)

Le soleil se levait

St Jean d'Angély

À demain, pour de nouvelles aventure et découverte !

C’est reparti !

Après quelques mois d'attente et d'inquiétude, plusieurs semaines d'incertitude ou de nombreux jours d'anxiété, nous allons reprendre la route demain.

Le soleil africain, les rencontres des autochtones, les découvertes de nouveaux paysages et peut-être, si le temps nous le permet, des fêtes locales nous attendent.

Toutefois, avant de fouler le territoire marocain, il va nous falloir éviter les barrages agricoles, les opérations escargots des chauffeurs de taxis ou encore les manifestations contre la loi immigration. Nous resterons sereins car nous comprenons les revendications de chacun.

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«On ne va jamais aussi loin que lorsqu'on ne sait pas où l'on va.”

Christophe Colomb, (1451-1506), navigateur italien au service des monarques catholiques espagnols

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Nous sommes prêts

À demain, pour ouvrir une nouvelle aventure et découverte !