Un peu de grêle est tombé hier soir après un après-midi de chaleur. Ce matin, le ciel était bleu azur, les rayons du soleil brûlaient déjà. À 15 heures, le thermomètre affiche 33 degrés à l'abri. L'atmosphère est étouffante.
Nous avons pris la vélodyssée ce matin tôt. Il faisait déjà très chaud même, entre les fougères, à l'abri des sapins.
Il y avait beaucoup de monde sur le marché qui longe les arènes de Vieux-Boucau. Les badauds cherchaient les dernières affaires à acheter avant de reprendre, pour certains, le chemin de l'école.
Autour des animations des vacanciers écoutaient les chants marins landais ou regardaient le lancer du béret basque.
Cet après-midi, nous recherchons l'ombre, voire les courant-d'air.
Nous n'irons pas à la braderie ce soir. Nous restons prudents. Nous préférons y aller demain, si le temps nous le permet.
Le préfet a déclenché une alerte orange aux orages pour ce soir. Le vent se lève légèrement, il apporte de l'air chaud. Seule une douche froide pourra faire descendre la température de mon corps.
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«Au plus fort de l’orage, il y a toujours un oiseau pour nous rassurer. C’est l’oiseau inconnu, il chante avant de s’envoler.»
René Char (1907-1988) poète et résistant français / Rougeurs des matinaux
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Des courses landaises sont prévus les 5 et 12 septembre à Vieux-Boucau, sans moi ! Quoique, celui-ci me semble inoffensif |
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Elles étaient dans les années trente des arènes dites de fortune, constituées de barrières en bois, cage pour bétails, et elles étaient entièrement démontables. Il n’y avait pas de gradins et le public se tenait debout derrière les barrières. Joseph Laudouat, le maire de l’époque, encourage la construction d’une arène fixe en bois. Puis le 16 août 1964, l’arène actuelle est inaugurée. |
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Et qui a les sacoches ? |
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Alerte ! |
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