Au pied du pont d'Oléron

Autour du vieux centre et au pied d'Oléron, l'agglomération s'est étendue au fil des siècles, et c'est aujourd'hui une petite ville qui vit au rythme des marées et de l'activité de son port pittoresque.

L'activité économique a toujours été tournée vers la mer ; autrefois les habitants étaient des sauniers et des pêcheurs, aujourd'hui, ils sont marins et ostréiculteurs.

La pointe de Chapus possède un port utilisé par les ostréiculteurs et une petite flotte de chalutiers.

L'ancienne gare SNCF, restaurée en 2004, témoigne de l'importance du trafic ostréicole et touristique qu'elle connut jusqu'en 1970 avec la ligne Paris Austerlitz – Le Chapus. Une deuxième gare existait au centre de la commune tant la quantité d'huîtres à expédier était grande, surtout lors des fêtes de fin d'année. Aujourd'hui, les camions remplacent le train via la plate-forme de transit des produits de la mer inaugurée en 2003.

Bourcefranc- Le Chapus est le premier port du bassin Marennes-Oléron, par le nombre d'ostréiculteurs inscrits maritime. C'est pourquoi, la commune est dotée d'un établissement réputé : le Lycée Aquacole de la Mer et du Littoral, où ses élèves peuvent y préparer les baccalauréats traditionnels mais aussi des brevets de techniciens liés aux activités maritimes.

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«J’adore les huîtres : on a l’impression d’embrasser la mer sur la bouche.»

Déclaration d’amour du poète français Léon-Paul Fargue (1876-1947).

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Ce matin la marée était haute

L'ostréiculteur a laissé son matériel

Les parcs à huîtres sont recouverts

Fort Louvois en miniature sur le rond-point à l'entrée de Bourcefranc- le Chapus

Oui, les marchands d'huîtres sont bien de ce côté.
Sous le soleil il est bon de se balader

Les coquilles d'huîtres serviront-elles pour fabriquer du goudron ?

Les parcs à huîtres

Phil continue sa lecture
Tant qu'à moi j'ai ouvert le livre de Kells de Sorj Chalondon
(Merci Blandine)

À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !