mardi 9 juin 2020

La terre européenne

L'Espagne était en vu à 6 heures 45 ce matin. 



Après avoir passé une nuit à demi couché dans des sièges confortables, de cuir noir, en 1ère classe, sur le bateau de la compagnie Baléaria, billets, je précise, que nous avons achetés avec nos deniers personnels et non par le gouvernement français, comme certains le pense, le bateau a accosté au port de Malaga à 7 h 45. (Près de 2 heures de retard).
Nous avons eu la chance d'être dans les premiers à sortir du mastodonte, quelle chance ! À  8 heures, nous foulions le sol européen. Quelques contrôles de papiers, un itinéraire à suivre,  signé par les services de police, en main et la route était à nous  !
Et là il fallait tracer car nous ne devons pas changer d'itinéraire ou entrer dans des villes pour faire du tourisme...
Malaga,  Séville,  Mérida,  Caceres  577 kilomètres et nous sommes un peu avant Salamanca sur l'aire service Caceres (Merci pour l'info,  Manu.)
Nous sommes fatigués et il fait chaud.
Je n'entends plus le Muezzin faire son appel à la prière, je finissais par m'y habituer ! Oh, il ne me manque pas !
Je suis toujours sur mon smartphone, sur le tout petit écran.
Dès que je capterais une wifi, je vous promets de plus longs discours.
Pour le moment, à 18 h 15,  la même heure que la vôtre, nous allons nous reposer.






Enfin ! Quel plaisir pour Phil  !
La température affiche :
Prenez soin de vous.

À demain pour la suite de l'aventure !

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