J'aurais pu !

Assise sur une des marches qui descendent sur le sable, je suis restée, imperturbable, à observer.

J'aurais pu décrire chaque instant ; des passants habillés chaudement, chaussés de bottes, des cannes à pêche sur l'épaule. D'autres revêtus de combinaison néoprène, courant vers l'océan, pieds nus, une planche sous le bras rejoignant des surfeurs. Un chat roux, blotti, le long d'une motte de sable, au soleil. Un petit chien blanc, le poil frisé, zigzagant et aboyant, la queue haute, signe de son contentement, le mufle relevé face au vent. Aussi, des familles repliées sous un parasol partageant un thé. Et puis, un couple d'amoureux camouflés sous une couverture, ou encore deux jeunes gens, en short, torse nu, jouant au frizbi... J'aurais pu !

J'ai préféré m'attarder sur ces deux jeunes filles riants, s'époumonant, afin que leur voix domine le bourdonnement des vagues et le souffle du vent. Vêtues de robes claires et longues, les cheveux recouverts d'un foulard sombre, chaussures aux mains levées vers le ciel bleu, elles essayaient d'avancer dans l'écume des flots. Doucement, lentement, je les voyais franchir chaque vague les éclaboussant et mouillant un peu plus le haut de leur robe devenant presque transparente. L'eau montait à chacun de leurs pas jusqu'au niveau de la poitrine. Elles sont restées là. Un bon moment face à l'horizon main dans la main.

Oui j'aurais pu décrire le tableau à droite, au nord, vers la plage de Legzira jusque sur la gauche, au sud, où surplombe Sidi-Ifni. Je ne me suis pas attardée. J'ai choisi de me concentrer sur ces deux jeunes filles. serait-ce cela la méthode oulipo ?

***

Continuons le quiz. Je vous rappelle qu'il y a 22 indices. Aujourd'hui, c'est le neuvième. Le résultat sera en ligne le 19 mars. Comme d'habitude, je note et je me tais sur vos conclusions. Vous pouvez toujours indiquer autant de solutions que vous le souhaitez jusqu'au 18 mars au soir, elles ne sont pas limitées !

1. Il a fallu quatre années pour me mettre au point
2. Je suis née en 1830
3. J’ai remporté la médaille de première classe en 1855
4. J’ai été considérée comme concurrente ou non comme aide
5. De nombreux procès ont eu lieu pour contrefaçon, plagiat ou utilisation frauduleuse de mon nom
6. Je suis devenue une précieuse aide à toute la famille
7. Je me suis modernisée en 1851 à New-York grâce à un américain dont les parents sont venus d’Allemagne
8. En 1855, une filiale s’est ouvert à Paris
9. Mon inventeur est mort dans la misère en 1857

***

«Le moment présent a un avantage sur tous les autres : il nous appartient»

Charles Caleb Colton (1777 - 1832), clerc, écrivain et collectionneur anglais

***

Il va rejoindre les autres surfeurs 

Que voici

Ils jouent avec un Fizbi

Sidi-Ifni perché...

...sur son promontoire

Ces deux jeunes filles riants, s'époumonant...

 ... Face à l'horizon main dans la main, elles avançaient

Je vais commencer un nouveau livre
et Phil vient de terminer le sien

À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !

Des pots

J'ai seulement commencé à faire quelques photos des pots dans Sidi-Ifni, seulement aujourd'hui. Je vous promets que je vais faire le tour de la ville pour immortaliser les autres...

Aujourd'hui, si le ciel était brumeux ce matin, il fait vraiment beau et chaud cet après-midi. Après notre petit travail quotidien, le petit tour en ville, nous nous reposons.

***

Continuons le quiz. Je vous rappelle qu'il y a 22 indices. Aujourd'hui, c'est le huitième. Le résultat sera en ligne le 19 mars. Comme d'habitude, je note et je me tais sur vos conclusions. Vous pouvez toujours indiquer autant de solutions que vous le souhaitez jusqu'au 18 mars au soir, elles ne sont pas limitées !

1. Il a fallu quatre années pour me mettre au point
2. Je suis née en 1830
3. J’ai remporté la médaille de première classe en 1855
4. J’ai été considérée comme concurrente ou non comme aide
5. De nombreux procès ont eu lieu pour contrefaçon, plagiat ou utilisation frauduleuse de mon nom
6. Je suis devenue une précieuse aide à toute la famille
7. Je me suis modernisée en 1851 à New-York grâce à un américain dont les parents sont venus d’Allemagne
8. En 1855, une filiale s’est ouvert à Paris

***

«De l'argile, nous faisons un pot, mais c'est le vide à l'intérieur qui retient ce que nous voulons..»

Lao Tseu (1925 – 2013), philosophe

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Orange

Vert et bien d'autres....

À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !

l'Océan

Oh que ferais-je si je ne voyais plus l'océan ? Cette étendue d'eau effervescente à perte de vue dans laquelle le soleil se couche où, au loin, tout au fond, à l'horizon, le ciel se confond et se meurt. Avec ses vagues qui viennent lécher le sable et parfois frapper des rochers. Écumantes et irrégulières, laissant des coquillages vides, des pierres et un sable humides lorsqu'elle se retire.

Elle me manquerait, c'est bien pourquoi que dès que nous allons vers l'Est, nous revenons sur l'Ouest.

Aujourd'hui, il fait toujours aussi beau. Après notre petit tour au village ce matin, cet après-midi, une balade sur la plage est notre distraction.

***

Continuons le quiz. Je vous rappelle qu'il y a 22 indices. Aujourd'hui, c'est le septième. Le résultat sera en ligne le 19 mars. Comme d'habitude, je note et je me tais sur vos conclusions. Vous pouvez toujours indiquer autant de solutions que vous le souhaitez jusqu'au 18 mars au soir, elles ne sont pas limitées !

1. Il a fallu quatre années pour me mettre au point
2. Je suis née en 1830
3. J’ai remporté la médaille de première classe en 1855
4. J’ai été considérée comme concurrente ou non comme aide
5. De nombreux procès ont eu lieu pour contrefaçon, plagiat ou utilisation frauduleuse de mon nom
6. Je suis devenue une précieuse aide à toute la famille
7. Je me suis modernisée en 1851 à New-York grâce à un américain dont les parents sont venus d’Allemagne

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«Notre passé est semblable à un océan dont l'horizon inaccessible n'a aucune réalité ; ses vagues viennent de nous déposer sur le littoral d'une île inconnue, notre avenir. À nous de la défricher.»

Albert Jacquard (1925 – 2013), chercheur, biologiste, généticien, ingénieur, philosophe et essayiste français), écrivain / Mon utopie

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Ses vagues écumantes

Laissant, à marée basse le sable mouillé.

Au loin, tout au fond, à l'horizon, le ciel se confond et se meurt

Un surfeur au loin

Des pêcheurs qui attendent le bar ou le sabre

Plus loin, derrière le rocher se situe
la belle plage de Legzira et ses roches rouges

Une petite crique juste pour nous aujourd'hui

Est-ce que je plonge ?

Et moi, j'y vais ou pas ?

Je vais essayer...

Oups, elle est froide aujourd'hui...

Non je préfère repartir

En volant au dessus

Serait-ce un ancien embarcadère ?

Dans la brume au loin, nous apercevons
le port de Sidi-Ifini.
C'est le projet de Pont à Transbordeur proposé par Ferdinand Arnodin
qui est retenu en 1897.
Les travaux débutent en mars 1898 pour se terminer 27 mois plus tard.
Le Pont Transbordeur du Martrou est inauguré le 29 juillet 1900.

À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !

Police

Sous le soleil nous sommes allés jusqu'à la sûreté nationale afin de nous renseigner à partir de quelle date nous pourrions déposer notre demande de prolongation de séjour. Chouette, lundi prochain nous devrons nous présenter avec toutes les pièces administratives obligatoires : passeport, attestation de séjour, admission temporaire du camping-car, quelques photos, justificatif de nos moyens d'existence (relevé de retrait bancaire ou de change)... Il semblerait qu'une dizaine de jours ensuite la prolongation de notre visa nous sera remise. C'est à partir de ce moment que nous reprendrons la route... Dès que nous avions mis les pieds le 20 décembre 2024 sur le territoire marocain, nous avions calculé notre trajet, les distances, les lieux à visiter afin d'arriver ici à Sidi-Ifni, pas trop tard, pas trop tôt, afin d'effectuer cette démarche.

Un petit tour chez notre primeur pour le saluer, chez le boulanger à qui nous avons remis 1 dirham pour l'acquisition d'une baguette (10 cts d'euros) et enfin au supermarché pour l'achat de schweppes (mon apéritif du soir).

***

Continuons le quiz. Je vous rappelle qu'il y a 22 indices. Aujourd'hui, c'est le sixième. Le résultat sera en ligne le 19 mars. Comme d'habitude, je note et je me tais sur vos conclusions. Vous pouvez toujours indiquer autant de solutions que vous le souhaitez jusqu'au 18 mars au soir, elles ne sont pas limitées !

1. Il a fallu quatre années pour me mettre au point
2. Je suis née en 1830
3. J’ai remporté la médaille de première classe en 1855
4. J’ai été considérée comme concurrente ou non comme aide
5. De nombreux procès ont eu lieu pour contrefaçon, plagiat ou utilisation frauduleuse de mon nom
6. Je suis devenue une précieuse aide à toute la famille

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«Un pays sans police est un grand navire sans boussole et sans gouvernail.»

Alexandre Dumas (1802 - 1870), écrivain / Les mohicans de paris

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En allant à la police, nous passons
au-dessus d'un jardin public

Quelques schweppes

La sûreté nationale

Phil continue sa lecture,
me voici au milieu du Médoc en 1956

À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !

Rectificatif

Je souhaite avant tout rectifier l'erreur dans mon article d'hier pour celles et ceux qui l'ont lu avant que je le corrige.

En effet tout le long de mon texte j'ai nommée Aziza par un autre prénom qui n'est pas le sien. Et pourtant je sais pertinemment que c'est bien Aziza et son époux qui étaient nos hôtes. C'est bien aussi Aziza, la maman de deux adorables petits garçons, qui a cuisiné le bon gâteau tout comme le reste du repas.

Pardonne-moi pour cette confusion Aziza. J'étais tellement enchantée de cette journée que je me suis trop vite empressée d'écrire mon article sans le relire. À quoi pensais-je ?

Aujourd'hui, nous avons été acheté nos fruits et légumes chez notre primeur habituel, puis de la viande hachée chez le boucher. Phil a demandé que je lui cuisine des pâtes à la tomate et viande de bœuf, il faut que je recherche une recette... Toutefois si vous en avez une, je suis preneuse ! Dans les placards de notre maison secondaire j'ai des aromates diverses, en plus, ici il y en a plein. Des tomates, de la sauce tomate, des coquillettes, des spaghettis, de la crème, du miel, de l'huile d'olive, du bouillon de bœuf et de volaille, même une petite bouteille de 25 cl de vin blanc. De plus nous pouvons acheter beaucoup d'ingrédients au Maroc, sauf l'alcool et le porc. De chez le volailler, nous avons emporté une petite cuisse de dinde. Je l'enfournerais avec des aromates pour Phil comme il aime tant.

Aujourd'hui, il fait vraiment chaud. Heureusement, il y a une légère brise qui nous permet de supporter les rayons ardents du soleil. Nous cherchons l'ombre.

Certains camping-caristes partent, les 3 mois de séjour sont terminés ou ils ne veulent pas être sur le territoire marocain pendant le Ramadan qui débute le 1er ou 2 mars en fonction du quartier de la lune. D'autres arrivent seulement ou bien sont encore dans le délais des 3 mois. Et puis il y a encore d'autres, comme nous, qui restons et allons demander la prolongation de notre séjour. Mais ça, c'est pour la semaine à venir, voire l'autre...

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Continuons le quiz. Je vous rappelle qu'il y a 22 indices. Aujourd'hui, c'est le cinquième. Le résultat sera en ligne le 19 mars. Comme d'habitude, je note et je me tais sur vos conclusions. Vous pouvez toujours indiquer autant de solutions que vous le souhaitez jusqu'au 18 mars au soir, elles ne sont pas limitées !

1. Il a fallu quatre années pour me mettre au point
2. Je suis née en 1830
3. J’ai remporté la médaille de première classe en 1855
4. J’ai été considérée comme concurrente ou non comme aide
5. De nombreux procès ont eu lieu pour contrefaçon, plagiat ou utilisation frauduleuse de mon nom

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«L'erreur agite ; la vérité repose.»

Joseph Joubert (1754 - 1824), moraliste et essayiste français / Pensées

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Mon primeur a de beaux légumes
regardez ce bel oignon !

J'ai aussi déposé mes bottines
chez le cordonnier

Nous avons aussi 
commencé une nouvelle lecture 

À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !

Une invitation après le souk

En revenant de faire son tour matinal, Phil me dit qu'il n'y avait pratiquement personne de levée... Nous n'avions pas fait attention. Le Maroc a changé d'horaire. Désormais nous avons reculé d'une heure nos pendules. Alors qu'il était 7 heures en France, il n'était que 6 heures au Maroc... Évidemment !

Après avoir fait un petit tour, à pied, tout la haut, vers le sud, dans le village et plus particulièrement sur le souk, nous sommes revenus à notre résidence secondaire. Et, avons attendu, devant le campement, l'autobus. Attendu, attendu, attendu. Oh ils passent les transports en commun, mais il faut être patient ici.

Nous étions invités chez des amis, Ahmed et Aziza, à Sidi-Ifni cette fois un peu plus au nord. Quelle chance d'avoir été reçu comme des princes.

La tradition du thé nous étonnera toujours ; À une hauteur impressionnante le liquide, brun fumant, est versé dans les verres sans qu'une goutte tombe sur la belle table basse ronde. L'accompagnement était faramineux avec de nombreuses coupelles débordant de fruits secs et un gâteau au yaourt / noix de coco cuisiné par Aziza.

Deux plats de couscous royaux colossaux, ont suivi. Nos hôtes n'avaient pas oublié que je suis végétarienne et m'ont servi trois petites omelettes avec un plat rectangulaire bondé de crudités ; carottes, pommes-de-terre, haricots verts, betteraves en salade.

Le plateau de fruits est arrivé : pommes, bananes, kiwis, orange... Nous étions tellement repus que nous l'avons seulement admiré.

Et de retour la tradition du thé et ses accompagnements.

Nous remercions infiniment Ahmed et sa maman qui était présente, Aziza et les deux garçons, d'un calme exemplaire, de leur gentillesse et leur accueil chaleureux.

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Continuons le quiz. Je vous rappelle qu'il y a 22 indices. Aujourd'hui, c'est le quatrième. Le résultat sera en ligne le 19 mars. Comme d'habitude, je note et je me tais sur vos conclusions. Vous pouvez toujours indiquer autant de solutions que vous le souhaitez jusqu'au 18 mars au soir, elles ne sont pas limitées !

1. Il a fallu quatre années pour me mettre au point
2. Je suis née en 1830
3. J’ai remporté la médaille de première classe en 1855
4. J’ai été considérée comme concurrente ou non comme aide

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«Je trouve mes lectures dans la lumière du ciel. C'est le livre le plus profond qui soit – et ce n'est pas moi qui en tourne les pages.»

Christian Bobin (1951 – 2022), écrivain et poète français

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Le premier jour je trouvais ce petit chien
bien sage dans la soute du camping-car...

Allons traîner sur le souk 

Nous attendions l'autobus

La tradition du thé

L'eau est servi dans de beaux verres

Deux plats de couscous, l'un n'est pas sur mon cliché,
enfin, en ce qui me concerne j'avais deux assiettes ;
les omelettes et le plat de crudités

Le plateau de fruits

Et pour terminer, le thé et ses accompagnements
étaient de retour

À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !

Tafraoute - Sidi-Ifni

Nous voici arrivés à Sidi-Ifni. Le chemin a été très long hier. Pourtant de beaux paysages s'offraient à nos yeux. Les miens seulement contemplaient le panorama avec le lever du soleil, car Phil était plutôt attentionné à la route sinueuse et dangereuse. Grâce à mes photos et vidéos il va pouvoir, à son tour, admirer les perspectives. Des roches accidentées, des rochers lisses de couleur ocre, une succession de sommets formant des cheminées. Des pans de montagnes parsemés d'oliviers, d'amandiers légèrement en fleurs, de palmiers, ou d'arganiers. Des villages accrochés sur le flanc d'une colline voire perchés au sommet ou tout simplement enclavés. Des marocains se promenant ou allant d'un point à un autre vêtus de tenues traditionnelles.

Mais, 4 heures pour 180 kilomètres, c'était long. Une moyenne de 45 km/h. Lorsque nous avions passé la ville de Tiznit, «chouette, la montagne est derrière nous» nous étions dits. Nous avions traversé le col du Kerdous, certes, mais entre Tiznit et Sidi-Ifni, le goudron poursuit entre des sommets et l'océan. Nous apercevions de notre promontoire Sidi-Ifnit d'où une brume de chaleur montait de la mer. On aurait cru du brouillard !

La brume s'est retirée avec la mer descendante. Aujourd'hui, il fait très beau encore.

Demain, nous sommes invités chez des amis. Nous avons beaucoup de chance.

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Continuons le quiz. Je vous rappelle qu'il y a 22 indices. Aujourd'hui, c'est le troisième. Le résultat sera en ligne le 19 mars. Comme d'habitude, je note et je me tais sur vos conclusions. Vous pouvez toujours indiquer autant de solutions que vous le souhaitez jusqu'au 18 mars au soir, elles ne sont pas limitées !

1. Il a fallu quatre années pour me mettre au point
2. Je suis née en 1830
3. J’ai remporté la médaille de première classe en 1855

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«Le bonheur est la seule chose qui double si on le partage.»

Albert Schweizer (1875-1965), Théologien protestant, musicien organiste, philosophe et médecin alsacien

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En partant de Tafraoute la route est sinueuse

Des roches se dressent

Quelques amandiers sont en fleurs

Le chemin est creusé entre les rochers

Des villages enclavés

Le soleil levant

Des dômes, des pics

Où vont-ils, ou qu'attendent-ils ?

44 Km/h

Vous voyez l'amandier en fleurs ?
Et je vois aussi la route de l'autre côté qui passe
sur un oued asséché.

L'océan n'est pas loin

Là aussi, il y a des rochers accrochés en équilibre

Où va t-elle ?

Une boucherie le long de notre chemin

Où vont-elles ?

Cette femme est bien chargée

Des palmiers et, des virages

Où va t-il ?

Les arbustes agrémentent le paysage aride 

Une brume s'élève de l'océan
Nous voici enfin arrivés !

À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !