Oh
que ferais-je si je ne voyais plus l'océan ? Cette étendue
d'eau effervescente à perte de vue dans laquelle le soleil se
couche où, au loin, tout au fond, à l'horizon, le ciel se confond
et se meurt. Avec ses vagues qui viennent lécher le sable et parfois
frapper des rochers. Écumantes et irrégulières, laissant des
coquillages vides, des pierres et un sable humides lorsqu'elle se
retire.
Elle
me manquerait, c'est bien pourquoi que dès que nous allons vers
l'Est, nous revenons sur l'Ouest.
Aujourd'hui,
il fait toujours aussi beau. Après notre petit tour au village ce
matin, cet après-midi, une balade sur la plage est notre
distraction.
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Continuons le quiz. Je vous rappelle qu'il y a
22 indices. Aujourd'hui, c'est le septième. Le résultat sera en
ligne le 19 mars. Comme d'habitude, je note et je me tais sur vos
conclusions. Vous pouvez toujours indiquer autant de solutions que
vous le souhaitez jusqu'au 18 mars au soir, elles ne sont pas
limitées !
- Il
a fallu quatre années pour me mettre au point
- Je
suis née en 1830
- J’ai
remporté la médaille de première classe en 1855
- J’ai
été considérée comme concurrente ou non comme aide
- De
nombreux procès ont eu lieu pour contrefaçon, plagiat ou
utilisation frauduleuse de mon nom
- Je
suis devenue une précieuse aide à toute la famille
- Je
me suis modernisée en 1851 à New-York grâce à un américain dont
les parents sont venus d’Allemagne
***
«Notre passé est semblable à
un océan dont l'horizon inaccessible n'a aucune réalité ; ses
vagues viennent de nous déposer sur le littoral d'une île inconnue,
notre avenir. À nous de la défricher.»
Albert
Jacquard (1925 – 2013), chercheur, biologiste, généticien,
ingénieur, philosophe et essayiste français), écrivain / Mon
utopie
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Ses vagues écumantes |
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Laissant, à marée basse le sable mouillé. |
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Au loin, tout au fond, à l'horizon, le ciel se confond et se meurt |
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Un surfeur au loin |
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Des pêcheurs qui attendent le bar ou le sabre |
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Plus loin, derrière le rocher se situe la belle plage de Legzira et ses roches rouges |
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Une petite crique juste pour nous aujourd'hui |
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Est-ce que je plonge ? |
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Et moi, j'y vais ou pas ? |
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Je vais essayer... |
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Oups, elle est froide aujourd'hui... |
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Non je préfère repartir |
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En volant au dessus |
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Serait-ce un ancien embarcadère ? |
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Dans la brume au loin, nous apercevons le port de Sidi-Ifini. C'est le projet de Pont à Transbordeur proposé par Ferdinand Arnodin qui est retenu en 1897. Les travaux débutent en mars 1898 pour se terminer 27 mois plus tard. Le Pont Transbordeur du Martrou est inauguré le 29 juillet 1900. |
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À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !
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