Nos pieds ont souffert !

Hier, Phil avait un rendez-vous à 11 heures chez le prothésiste dentaire, nous y sommes allés avec un grand taxi. Nous en sommes sortis il était plus de midi avec un second rendez-vous à 16 heures le même jour.

Pas la peine de revenir dans notre petit village, autant profiter de la ville pour aller nous balader dans la zone d'activités commerciales et y déjeuner sur le pouce (omelette/frites).

Nous avons donc hélé un petit taxi. Heureusement qu'une dame a précisé au chauffeur où nous allions car il ne comprenait pas un mot de français ! Dans son affreux petit véhicule cabossé nous étions brimbalés et plus précisément lorsqu'il cherchait les vitesses. Il parlait entre ses dents, à lui même, il priait peut-être ? Il a trouvé le moyen de pénétrer dans une rue barrée par des travaux ; Demi-tour et pas forcément où il aurait dû le faire...

Le magasin de sport est vraiment petit ici, en plus je n'ai pas trouvé de vêtements qui me plaisaient.

Comme il n'était qu'à peine 14 heures autant lambiner dans les rues de la nouvelle ville en nous y rendant avec un autre petit taxi. Ouah le quartier chic ici ; Des belles et grosses voitures sombres étaient stationnées. Sur les terrasses des restaurants luxueux des hommes en costumes de ville, des femmes revêtues de belles toilettes, tous à l'européenne, consommaient. Devant les portes ouvragées des belles maisons un gardien était assis sur une chaise... Mais il n'y avait rien d'autre à regarder.

Nous aurions dû aller dans la vieille ville malgré que nous la connaissons déjà.

En regardant le GPS nous avions décidé de retourner chez le prothésiste à pied. J'avais chaud ! Les pieds en compote car je n'avais pas trouvé mieux que d'enfiler des chaussures à talons compensés. Si j'avais su ! Une horreur pour marcher, en équilibre, sur les trottoirs bosselés, sous un soleil de plomb. Je ne regardais pas droit devant mais surtout là où je posais le pied !

En ressortant de chez le praticien il n'y avait pas moyen de trouver un grand taxi ou ils étaient déjà complets ! Je vous rappelle que les taxis au Maroc sont des transports en commun. Seuls les grands sortent de la ville.

Nous avons fini par sauter dans un petit taxi, vert clair, qui nous a déposés à la station des grands taxis, vert foncé, et enfin nous conduire vers notre résidence secondaire.

En vérifiant le cadran de ma montre, nous avons parcouru presque 10 kilomètres à pied. Phil avait mal aux pieds, moi aux jambes et les pieds, en vrac, coincés dans les lanières de mes hautes sandales... Une douche pratiquement à l'eau froide était bien agréable et relaxante.

Nous voici déjà mercredi 7 mai, nous allons changer de camp lundi prochain. Nous attendons la fin des vacances scolaires marocaines pour rouler. Et, il ne serait pas judicieux de nous retrouver sur une autre plage bondée un week-end. Attendons le début de la semaine prochaine...

En attendant nous profitons de la tranquillité sur plage de Mohammedia.

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Continuons le nouveau et avant-dernier quiz. Il y a 12 indices. Le résultat sera en ligne le 16 mai. Comme d'habitude, je note et je me tais sur vos conclusions. Vous pouvez toujours indiquer autant de solutions que vous le souhaitez jusqu'au 15 mai au soir, elles ne sont pas limitées !

1. Mon inventeur a gagné des médailles aux Grandes Expositions à Londres en 1851 et 1862
2. Je suis né au Royaume-Uni
3. À la mort de mon inventeur en 1877, son neveu me coud en 2.800 exemplaires par an
4. Je pèse entre 410 et 460 grammes
5. Mon inventeur était fabricant de chaussures
6. J'étais en forme de prune
7. En 1875, je suis en caoutchouc

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«S'habiller à sa taille, et se chausser à son pied : voilà la sagesse.»

Horace (65 av. J.-C. - 8 av. J.-C.) poète de l'Antiquité romaine.

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L'océan ! Le calme

La marée va bientôt redescendre

Nous ne sommes pas sur la lune !

Il me semble que c'est un bécasseau

Je lui ai fait peur, il s'envole !

Je l'avais écrit : nous sommes de l'autre côté,
sur une autre plage

Celle-ci est splendide !

Phil continue le policier, j'ouvre un petit livre d'une
centaine de pages, je vais l'avaler en peu de temps
de Paris au Terroir après le Covid, faut-il s'inventer
une nouvelle vie ?

À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !