Le mot michoui veut dire «griller à la braise». C'est une spécialité Algérienne, originaire des nomades des hauts plateaux du Moyen Atlas Algérien, et aussi de ceux des contreforts de l'Atlas Saharien.
Le méchoui, spécialité culinaire incontournable de la cuisine maghrébine, suscite depuis toujours un vif intérêt auprès des gourmets. Ce plat populaire, synonyme de convivialité et de partage, n’a cessé d’évoluer au fil du temps pour devenir l’un des mets les plus appréciés à travers le monde. Il est situé au cœur des tables marocaines le jour Saint, le vendredi et sur les tables des restaurants le dimanche pour les touristes. Seulement aujourd'hui, si nous ne sommes ni un vendredi, ni un dimanche, nous étions invités. Cette invitation ne se refusait pas.
Il est important de comprendre ce qu’est le méchoui. Le terme «méchoui» provient du verbe arabe “شوى” (sawa) qui signifie «griller» ou «rôtir». Il désigne donc à la fois une technique de cuisson consistant à cuire lentement de la viande sur un feu de bois, mais également le plat lui-même, généralement composé d’un agneau entier rôti.
D'après les recherches menées par divers spécialistes en gastronomie, l’origine du méchoui remonte à l’Antiquité. En effet, plusieurs fresques retrouvées dans l’ancienne Egypte attestent de la confection de plats similaires dès cette période. La technique de la cuisson à la broche se propagera ensuite progressivement à travers les différentes civilisations méditerranéennes, notamment chez les Grecs et les Romains.
C’est néanmoins au sein des populations berbères que le méchoui prendra toute son importance culturelle et gastronomique. Les éleveurs de moutons nomades, épris de leur terroir et habitués aux conditions de vie difficiles, développeront cet art culinaire afin de sublimer leurs viandes d’agneau ou de mouton. Le méchoui deviendra ainsi un élément phare de leur patrimoine, au point de se transmettre de génération en génération.
Avec la conquête arabe du Maghreb, le méchoui gagnera en notoriété et s’affirmera comme l’une des recettes emblématiques du répertoire culinaire maghrébin. Introduit en Espagne lors de la période musulmane (711-1492), il franchira ensuite les frontières méditerranéennes pour être découvert et adopté par les Européens.
Au Maroc, le méchoui est l’un des plats incontournables lors des grandes fêtes familiales ou religieuses telles que la “Aïd el-Kébir“. La préparation traditionnelle consiste à enduire l’animal d’un mélange d’épices (paprika, cumin, safran) avant de le rôtir sur un feu de bois pendant plusieurs heures. La viande se gorge alors d’arômes et développe une texture à la fois tendre et moelleuse.
J'avais de la chance, ou certainement repérée puisque qu'un plat de poisson m'attendait. Nous avons eu chaud sur la terrasse malgré les parasols qui nous abritaient du soleil. Le thermomètre affiche toujours 30 degrés à l'abri. Les rayons sont aussi brûlants sous une quasi absence du vent du nord soufflant seulement à 5 Km/h.
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«Sur les pas du loup, l'agneau ne marche pas.»
Proverbe breton
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| Les chambres se situent dans ce couloir |
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| Mon marché du jour (45 dirhams soit 4 euros) |
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| Il faudra attendre dimanche pour prendre ce chemin et, l'aventure nous attendra.. |
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| Ici c'est le printemps |
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| Du mouton pour Phil |
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| Une magnifique et succulente sole pour moi avec une sauce citronnée |
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