mercredi 29 janvier 2020

Un petit espoir

Dès 7 heures j'entends le Muezzin. Je ne l'avais pas oublié, je savais bien que je réentendrais le son d'un enregistrement venant d'un minaret. Car il y a longtemps qu'un membre de la mosquée ne se charge plus de lancer l'appel à la prière. C'est moderne !
Étant au creux dans la vallée entre deux montagnes où l'Oued a tout ravagé et emporté en novembre 2014, les sons, venant du bled sur un promontoire, font un magnifique écho.
À midi le thermomètre affiche déjà 25 degrés, le ciel est toujours d'un bleu immaculé. Phil a déjà la peau d'un marocain.
Nous sommes à 1 kilomètre du centre de la ville, perchée tout en haut. Chaque jour, comme l'année dernière, nous crapahutons pour aller chercher le pain le matin. L'après-midi, c'est un vrai bonheur d'y retourner pour déguster les bons beignets. La terrasse d'un bistrot est bien connue des touristes s'y regroupant. Ces bonnes pâtisseries sont accompagnées d'un thé à la menthe ou d'un jus d'oranges pressées.
Et aujourd'hui, j'ai trouvé, derrière l'hôpital, une minuscule boutique de petits matériels électroniques. L'homme a gardé mon appareil photos. Il va regarder, il pense le réparer... Je vous en dirais plus demain !


Une jolie place devant l'hôpital

Mais, je ne voudrai pas y mettre les pieds

Un autre parc de Sidi Ifni


Sans la plage ce n'est pas Sidi Ifni
C'est beau !



Je ne vais pas oublier l'Océan !
Mais que fait-il ?





Elle va au mariage, demain, de sa cousine


1 commentaire:

  1. Que de mystère! Tout d'abord cette personne sur la plage. Ensuite, à qui ces mains magnifiquement tatouées? Ont-elles un lien?

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