Il a plu cette nuit,
beaucoup, mais pas longtemps, juste le temps de laisser des flaques
ici ou là dans le sable. Évidemment, le temps s'est rafraîchi (18
degrés à 11 heures). Les marocains sont heureux ! Le beau
temps revient doucement, toutefois nous attendons de nouvelles
averses pendant un jour ou deux. Le thermomètre affiche déjà 28 à
14 heures.
Il n'y a plus d'électricité ? Non jamais le
mercredi matin : jour des travaux dans le village de S-Rbat.
Cette bourgade que nous avons franchie, hier, n'est que de toutes
petites ruelles. Dans le guide Gandini, il est indiqué que cette
traversée est déconseillée aux gros véhicules. Surtout lorsqu'il
faut tourner à angle droit ! Mais, ça passe ! La preuve
puisque nous y sommes arrivés, comme bien d'autres !
Le vent était si fort,
lorsque nous étions à Takat, que Phil a préféré faire faire un
cache-nez à notre carrosse. Le moteur sera à l'abri lorsque nous
serons arrêtés sur des aires sablonneuses et jours de vent !
Parlons un peu des
sanitaires. C'est propre, ici, mais il manque des carreaux de
faïence, il y a de gros trous à côté des robinetteries, trois
douches pour les femmes autant pour les hommes. En ce qui me
concerne, sur les trois cabines, une porte ne ferme pas. Dans la
seconde, de la pomme l'eau pisse de travers. Je crois que la 3ème
devrait être mieux. Mais ce matin, c'était occupé ! Je ne
sais pas ce qu'il en est du côté des hommes. Phil n'a pas pu me
dire puisqu'il n'y a pas mis les pieds, il a préféré se laver dans
le camping-car. Je lui ai pourtant certifié qu'il y avait de l'eau
chaude...
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Le visiteur du matin
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C'est du point rouge que nous sommes arrivés |
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S-Rbat
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Le four à pain
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On boit un thé ? |
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On y va ? |
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Vous me suivez ? |
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Je vous laisse rêver et vous exprimer |
Génial, le jeu de piste! Et voilà, nous y sommes et c'est ......( waouh) La grille m'a bien rappelé un poème de M Carême, une histoire de portrait d'oiseau. Je pense utiliser cette photographie pour initier un débat philo sur le concept de la liberté. Que de richesses ce carnet de voyage!
RépondreSupprimerJe tiens à rendre le texte du portrait de l'oiseau à son auteur, c'est Jacques Prévert! Quant à Maurice Carême, il a également écrit des poèmes d'oiseaux et bien sûr, sur la liberté.
RépondreSupprimerEt oui Jacques Prévert :
RépondreSupprimerPeindre d'abord une cage
Avec une porte ouverte
Peindre ensuite
Quelque chose de joli...
Merci Sylvie d'embellir ce blog !