Le chauffeur et son équipière ont souffert

Comme je le disais, hier dans mon article, la route depuis Ouazarate est horrible. Elle est en travaux tout le long. Dans ce pays, et surtout dans les montagnes, il n’y a pas de déviation. Ce chemin a été goudronné pour la première fois en 1936 par les Français. Le verglas, la neige et le passage régulier des véhicules l’ont bien abîmé. Des trous, des bosses, sans cesse, nous chahutaient. Phil était attentif à la route, j’étais soucieuse.
Au sud de Marrakech, nous nous sommes ravitaillés dans le grand magasin Carrefour (Jambon blanc et bière). Le parking est sous-terrain, il faut contourner le quartier pour se garer, le long du trottoir, devant la seconde entrée, à une centaine de mètres....

Et, enfin, Marrakech à traverser. Une très grande ville où la circulation est dense, même le dimanche. Les conducteurs conduisent en tous sens, la main sur le bouton du klaxon, comme si nous étions dans un manège d’autos tamponneuses ! Nous sommes au Nord de la grande ville dans un magnifique camping fleuri. Cependant, juste à l’extérieur, l’oued, à sec, est inondé de détritus qui se répandent sur plus de 500 m2 ! Une honte.

Nous n’allons pas sortir de notre superbe enclos et rester quelques jours dans cet environnement magnifique : des poules et leurs poussins, des paons se promènent à travers la végétation luxuriante, les oiseaux perchés sur les branches d’arbres en fleurs chantent, c’est merveilleux ! Pendant ce séjour je vous raconterai, en dehors de nos découvertes journalières, nos pérégrinations depuis Ouarzazate.

Pour commencer je partage des clichés des personnages au bord de la route.

Il fait toujours beau, le thermomètre affiche, à l’ombre, à 16 heures, 30 degrés.

Juste pour vous donner une idée !

À demain pour de nouvelles aventures !