jeudi 7 septembre 2023

Reflets

 Nous avons été faire un tour sur la marché tôt ce matin. À 10 heures, lors de notre retour, le thermomètre de la pharmacie affichait 33 degrés.

Nous allons resté tranquilles cet après-midi. Nous allons continuer, à l’ombre, nos lectures respectives. Phil devrait terminer son livre, il va en choisir un autre dans la petite bibliothèque de notre maison roulante. Nous espérons, surtout, mais surtout, que les jeunes ne reprennent pas leur musique de fou. Hier, ils ont recommencé à picoler, fumer, se dandiner et poser des bouteilles de toutes acabits sur le chemin du camping, ils «s’amusaient» à slalomer entre elles de 15 heures à 20 heures alors que les véhicules ne pouvaient plus passer. Ils auraient certainement continuer si Phil n’avait pas été à l’accueil pour menacer l’agent de notre départ si ce vacarme ne cessait pas. Pourtant, avant, de nombreuses personnes s’étaient plaintes. Même une dame dont le bébé ne pouvait pas dormir car les résonances au sol étaient trop puissantes et ce boum boum était assourdissant. Une nuit avait déjà suffit pour nous mettre en colère. Nous restons jusqu’à samedi en attendant un couple d’amis. Nous pensions rester ensuite une semaine et aller à une quarantaine de kilomètres un peu plus au nord. Nous verrons, nous aviserons...

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«En devenant miroir du ciel sans cesse changeant, les plans d'eau impliquent la liberté. Rien de plus éphémère que ces reflets.»

Erik Orsenna, nom de plume d'Éric Arnoult, écrivain et académicien français

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Une maison basque au bord de l'eau 
La végétation se mire dans la Boutonne
À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !

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