Hier était une journée
un peu difficile : entre le convoi exceptionnel que nous avons
dû suivre sur plusieurs kilomètres pendant plus d'heure et la wifi
du camping qui fonctionnait au ralenti ! C'était plutôt
stressant.
J'ai dû m'y prendre à
de nombreuses fois pour remplir mon blog : deux ou trois fois
sur mon smartphone, quatre fois sur mon ordinateur.... Vrrrrrrrh !
Si bien que ce matin j'ai relu mon article. Ouah ! Il y avait
des fautes, des mots manquants, j'ai dû le reprendre, vous verrez,
ou vous avez, peut-être, déjà vu.
Nous sommes installés
pour plusieurs jours. Ce matin nous avons été faire un tour de
repérage dans les rues de St Hilaire de Rietz le long du rivage.
C'est facile par la piste cyclable ! En plus, cette commune a la plus longue façade atlantique de la Vendée, avec 13 kilomètres
de côtes sableuses et rocheuses. Je vais me régaler ! J'en ai
profité pour lécher les vitrines des petits commerces et humer le
parfum de la brioche vendéenne en passant devant une
boulangerie-pâtisserie.
Je reviens du bord de
mer, la grande plage des Demoiselles, là où pendant la première
guerre mondiale, entre 2.500 et 3.000 soldats américains étaient
basé au camp d'aviation de Champ-Gaillard, quartier des Demoiselles.
Il suffit de pousser une
petite barrière, au fond du camping, pour mettre les pieds dans le
sable blond des dunes. Les vagues, de la marée montante, remuaient
les fonds marins, les lames étaient couleur sable. La mer, un peu
grise, avait une belle ligne à l'horizon, et juste après, l'océan
était vert, comme si ces deux parties étaient séparées par un
barrage. Le ciel s'est couvert mais sans danger. Une légère brise
m'a empêché de rester lire sur la plage. Je me suis pourtant
blottie contre le blockhaus, mais les vents tourbillonnant, faisaient
virevolter le sable. J'ai préféré revenir dans les pins à l'abri.
De cet endroit, j'entends le bruit des vagues, je sens l'air iodé,
un condensé pour me plaire !
Demain, j'irais dans
l'autre sens : vers St-Jean-de Monts.
Tout va bien pour vous, la plage, la mer, .... Chez nous c'est le déluge! Et il fait si froid que nous avons allumé le poêle!
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