vendredi 24 mai 2019

Santander

Et bien non ! Nous ne sommes pas restés dans ce beau camping irréprochable dans lequel les parcelles sont bien délimitées. Des jardins d'enfants sont couverts de jeux de plein air aux couleurs vives  : rose, vert, jaune. Un espace barbecue, couvert, est à disposition avec des bancs et des tables de bois robuste. Des sanitaires dont les murs sont revêtus de miroirs immaculé où se reflètent des arômes, liliaux, baignant dans des vases, blancs, répartissant leur parfum dans tous les recoins. Des parterres de fleurs diverses, principalement des rosiers, embellissement les circuits. Une musique agréable et entraînante couvre tous les bruits dans les toilettes et enfin, de grandes cabines où j'ai pris une douche bien chaude, sous un jet puissant, cloisonnée d'un muret, derrière lequel j'ai déposé mes affaires, à l'abri des gouttes d'eau. 
Non, nous ne sommes pas restés à  Cudillero à un kilomètre de la plage et deux du petit village de pêcheurs, à vol d'oiseau. Car, perchés nous ne savions que faire ? La farniente n'est pas notre truc. Prendre le vélo  ? Aïe ! Pour aller jusqu'à la plage ou sur le port, par les méandres qui rallongent le trajet, c'est facile, mais, nous ne sommes pas assez sportifs pour en revenir par la route abrupte.
Nous avons capitulé et repris notre trajectoire vers l'Est. Nous avons traversé de nombreux tunnels, sous les montagnes arides, le soleil était timide.
Nous sommes à Santander, juste pour une nuit, sur une aire de services.
Il fait dix-huit degrés, des averses tombent.
Demain nous décamperons.

Vu du camping de Cudillero

Montagnes arides






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