Le samedi, c’est jour du marché ! Compte tenu de la foule, et du temps incertain, j’avais préféré ne pas m’encombrer de mon appareil photos. Le téléphone portable fonctionne aussi rassurez-vous ! Il pleuvait quelques gouttes lorsque nous avons enfourché nos vélos. Mais très vite, nous nous sommes arrêtés pour quitter nos polaires. Le soleil était de retour et le temps était vraiment très lourd.
À 10 heures, tous les badauds n’étaient pas arrivés sur la place du marché : entre lève-tard et peurs de la bruine, nous avions assez d’emplacements sur le parking à vélos pour y délaisser nos petites reines et suffisamment de place, dans les allées, entre les achalandages, pour contempler les étalages aux couleurs landaises et humer les odeurs de canard ou foie gras... Toutefois en fin de matinée, alors que nous étions à siroter en terrasse d’un bistrot, sous le soleil brûlant, tous les lève-tard et ceux qui avaient peur de la bruine se sont agglutinés dans les rues piétonnes du Vieux-Boucau. Il était temps pour nous de repartir.
Depuis, il fait très chaud. Nous sommes aussi bien, à l’ombre, et à l’abri du vent, assis sur nos fauteuils à bouquiner.
«La lecture est importante. Si vous savez lire, alors le monde entier s'ouvre à vous.»
Barack Obama
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| Il n'y a personne sur la grande roue |
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| Pas grand monde sur le marché |
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| Et là non plus, il n'y avait pas la foule |
À demain pour de nouvelles aventures et découvertes !
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