Meknès

Hier il faisait très chaud dans Meknès, mais quelle rigolade dans le bus avec tous les autochtones. Il me semble que c’était le moment le plus drôle de la journée.

Il faisait très chaud, il y avait beaucoup de monde et puis, je préfère sincèrement la ville de Fès, pour l’avoir visitée l’année dernière. Meknès est souvent appelée le Versailles du Maroc. Pourquoi pas ! Je vous laisse découvrir les photos que j’ai prises.

Allons à l'arrêt de car

Le car nous dépose à la station de taxis pas loin de l'entrée des remparts

Nous choisissons celle-ci ?

Plutôt que celle-là 

Et c'est parti, mais comme nous sommes au milieu de la circulation, très très dense,
je n'entends pas les explications du cocher !!!!!

On a deviné : les remparts

L'entrée d'un site royal

Une des portes

Le tour des remparts

L'entrée d'un palais royal

?????

Un très beau jet d'eau sur le bassin

Signe de "Bienvenu"

Je ne sais pas comment a fait le cheval pour courir et nous traîner
entre les camions et les voitures. Et, il s'arrête au feu rouge ! 

C'était pas mal

Sur ce marché, j'ai acheté des livres dont vous verrez les couvertures plus loin...

C'est comme à Marrakech : Une photo cela se paie,
alors il ne vaut mieux pas s'approcher !

De dos, il ne m'a pas vu, c'est gratuit ?

L'entrée du souk est sous la voûte

Comme beaucoup, le musée est fermé, il faut appeler !

Un souk, c'est un souk

Alors ce bus : En France, je suis certaine qu’il serait déjà à la casse... Il arpente les rues tonitruant. Une fumée obscure sort du pont d’échappement, bien sûr, les portes ouvertes. C’est la clim naturelle et aussi l’aération pour les odeurs tenaces de transpiration. Mais il n’y a pas que les portes qui sont ouvertes, il y a, aussi, le capot arrière du moteur pour éviter qu’il surchauffe paraît-il !

Le chauffeur, assis presque sur le sol, à un grand sourire édenté lorsqu'il nous voit à l’arrêt. En principe, les européens prennent le taxi. Les trois marches en colimaçon sont en ferraille. Le sol du couloir est très accidenté. Les sièges poussiéreux, extrêmement durs, sont, pour certains, recouverts d’un carton pour combler le trou. Tant qu’aux fenêtres, il est inutile de vouloir regarder le paysage car elles sont toutes maculées ou, pour certaines aussi, remplacées par un carton... Le bruit du moteur est surprenant, parfait dans une côte, une vitesse déraille. Cet autocar est tellement surchargé que, dans certains virages, nous penchons un peu. Les hommes montent ou descendent du véhicule sans qu’il soit à l’arrêt. Je vois qu’ils ont l’habitude de sauter en route. Le conducteur attrape, sur un côté, un verre de thé, conservé au chaud derrière la vitre, et se désaltère en roulant... Que c’est amusant ! Et au retour, comme par hasard, nous retrouvons notre chauffeur au visage rieur. Il nous a reconnu ! Comme nous sommes installés au milieu du bus et ne pouvons rien voir de la route le chauffeur crie - “Campinnnggg !” Lorsque nous sommes arrivés. Alors là nous devons nous frayer un chemin entre tous les marocains pour pouvoir descendre.

Nous n’avons pas eu d’accident et sommes revenus en entiers. Un vrai tour de manège pour 20 dirhams aller retour pour deux (2 euros) !

On a bien ri

Merci chauffeur ! shukraan

Les livres que j'ai achetés

Le ciel est toujours azur, il fait très chaud, le thermomètre affiche 52 degrés au soleil et 31 à l'abri (je n'ai pas pris de photos car il y a trop de réverbération.)

Demain nous décamperons et irons, normalement, visiter le site archéologique de Volubilis en passant.

Aujourd'hui, nous nous reposons, il fait tellement chaud ! Nous lisons...

Celui que je termine

Et, celui que je vais commencer

À demain pour de nouvelles aventures !