Allongée, dos sur le sable, un bras
derrière la nuque, je
distingue, à travers mes
paupières fermées, un
rayon de soleil. J’écoute
le bruissement léger des vagues, le piaillement des oiseaux. Je
perçois
les effluves iodées et
salées des embruns. Je
m’étends, je me réveille doucement. Je
suis dans mon lit. Ce
n’était qu’un rêve. Pourtant, si j’entrevois
un rayon de
soleil par les interstices du volet de lanterneau, si
les sons me parviennent toujours, les
fragrances de
l’Océan ont disparu.
Je suis bien là, reposée.
Il est 7 heures 30, une belle
journée s’annonce.
«Ralentir
est un verbe qu’il ne faut pas laisser à l’infinitif. Sa
conjugaison devrait devenir un sport favori»
Merci Sylvie
Le
ciel s’est couvert dans le courant de la matinée, un léger coup
de vent et, hop ! Les nuages ont glissé vers l’Est. Et oui,
contrairement à la Méditerranée, l’Atlantique a l’avantage
d’avoir des marées.
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On a tant à apprendre de la Nature |
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Ne nous fâchons pas ! |
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Voici la passerelle Pelic |
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l'Adour et ses reflets |
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Un peu de culture |
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La plage de Labenne Océan |
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Une belle maison basque |
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Juste pour nous repérer |
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C'est le bon chemin pour Capbreton |
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Cette photo est pour Evelyne et Bernard |
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Le printemps est là |
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On termine par mon rêve |
À
demain,
pour de nouvelles aventures
et découvertes !
Le printemps est bien là!
RépondreSupprimerParmi les poèmes appris à l'école à propos du printemps, j'ai découvert celui de José-Maria de Heredia, intitulé "soleil couchant" extrait du recueil " Les trophées " qui nous emporte au bord de la mer avec délice en fin de journée, telle une flânerie sur un chemin de douanier.
Une très belle et douce soirée....