À 16 heures, hier après-midi, juste après avoir validé l’article de mon blog, le ciel est devenu rose. C’était vraiment beau. Puis le brouillard est arrivé, l’atmosphère est devenue ténébreuse. À 17 heures il faisait noir comme en pleine nuit sans clair de lune. Dès l’aube, entre les deux mi-temps du match de rugby moins de 20 ans, Irlande-Angleterre, diffusé sur la chaîne de l’Équipe, une violente tempête nous a surpris.
J'ai poursuivi ma lecture anxieusement, mais plus de match pour Phil. Il a baissé rapidement la parabole. Fixé plus vigoureusement le tapis de sol et la bâche protégeant nos petites reines.
Nous avons beaucoup été secoués. À droite, à gauche. Dans tous les sens. Le vent venait de derrière, tourbillonnait pour nous ballotter en tous sens.
Ce matin, certains camping-caristes, ramassaient des ustensiles très répandus, nettoyaient tables et divers accessoires recouverts de sable rose.
«...Parfois, le destin ressemble à une tempête de sable qui se déplace sans cesse. Tu modifies ton allure pour lui échapper. Mais la tempête modifie aussi la sienne...»
(Kafka sur le rivage) de Haruki Murakami, écrivain japonais contemporain, né en 1949 au Japon
Aujourd’hui nous allons rester bouquiner. Nous ne sommes pas «coupés» du monde puisque nous avons les informations par internet et la radio française par le même biais.
Phil a enchaîné avec un Connelly. En ce qui me concerne je ne suis pas très passionnée par cette lecture un peu trop légère. Je le finirai quand même ! |
À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !
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