En ce
jour dominical, nous avons déjeuné avec 4 anciens voisins de notre
précédent "quartier" et 2 autres, habitant en face de notre avenue.
Tous les 8 nous nous sommes réunis, pour être à l'abri des
regards, sous la toile d'un camping-cariste, celui qui habite le "quartier" le plus loin dans notre petit "village", là où nous étions
avant d'être délogés par risque d'inondation. Surtout qu'à nous
8, nous faisons un peu de bruit. Chacun avait commandé une part de
lapin à la moutarde. Chacun s'est régalé. Enfin, en ce qui me
concerne, j'aurais préféré un plat de divers poissons dont du
calamar, mais... la sauce est composé d'ail, de persils et de
beurre ! Allergique à cette composition, ne mangeant pas de
viande, j'avais réservé une pizza. C'est beaucoup plus simple. Vous
me connaissez ? Chacun avait apporté ses couverts et son siège.
Chacun avait été cherché, au restaurant, sa réservation. Malou et
Christian, chez qui nous étions, avaient préparé une entrée de
tomates, thon, œufs mayonnaise, Christiane avait, de son côté,
cuisiné deux tartes aux pommes : une avec compote de pommes,
l'autre sans, j'adore la dernière ! Gisèle et Richard avaient
apporté du vin, tout comme nous.
Quel
régal ! Non seulement de partager notre repas, mais surtout de
partager nos rires ! "Une vie tranquille est une mer
morte".
Il
n'empêche pas que nous avons beaucoup échangé sur nos probables
retours sans en connaître la date ? Nous reverrez-nous un jour
en France ? Un couple habite près de Toulon, un autre en
Alsace, un autre en Normandie et enfin le dernier en Bretagne ?
On ne sait pas ! Les affinités ça rapprochent !
Maintenant,
à 16 heures, ils sont 4 sur le groupe à jouer à la pétanque
pendant que j'écris ces quelques lignes.
J'aime
bien toutes ces personnes agréables, nous avons tous le même
adage : quand allons-nous rentrer ? Quand ne serons-nous
plus en rétention ?
"...Allant ou venant
le monde n'a jamais été séparé de toi. Si tu ris, le monde est
dans la joie, si tu pleures, le monde est triste... C'est l'état
même où tu ne dépendras plus ni des mots, ni des pensées, ni des
concepts, ni des émotions, ni des sensations. Tu as l'impression que
sans tout cela tu auras tout perdu ? Et pourtant, c'est à ce
moment précis que tu révéleras ta plénitude.
Ainsi, toutes ces
questions existentielles -que suis-je ? Qu'est-ce la vie ?
Qu'est ce que la mort ? Qu'est-ce que le bien ? Qu'est-ce
que le mal?-, toutes tomberont d'elles-mêmes. Une rose, si vous
l'appeliez autrement que "rose", exhalerait-elle le même
parfum ?..."
Sandokai
Harmonieux contrastes
Merci Sylvie
Toujours
en manque d'inspiration, n'hésitez pas, continuer à m'envoyer vos
textes pour alimenter ce blog.
Le nombre d'infection au
coronavirus grimpe de 3.758 à 4.047 en 24 heures. L'écart entre le
nombre de décès qui passe de 158 à 160 et celui de personnes
guéries passées de 486 à
557 se creuse encore.
Quelques
gouttes de pluie sont tombées hier soir. Si peu ! Depuis ce
matin, sur la toile bleu, quelques nuages blancs se promenant,
cachent ponctuellement le soleil brûlant. Le thermomètre
affiche :
À l'abri, à l'heure marocaine |
Sous un cumulus voyageant sur le ciel bleu, avant le passage de ce nuage, blanc éclatant, le thermomètre affichait 44 degrés ! |
Prenez soin de vous.
À demain pour de
nouvelles aventures !
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