Par la voie cyclable, à travers la forêt de sapin, nous avons retrouvé la vélodyssée, celle que nous connaissons, par tronçons, depuis la Bretagne jusqu'aux Pyrénées.
Nous nous sommes ravitaillés dans une grande surface. Au retour mes sacoches étaient plutôt joufflues ; je devais appuyer sur les pédales de ma bicyclette. Faire le plein de victuailles devenait indispensable avant que les orages arrivent et surtout de reprendre la route. En effet, nous changeons de camp dimanche. Et, dimanche nous allons contourner la ville de Bordeaux.
Les météorologues annoncent de l'orage pour la nuit à venir... Pour le moment, il fait beau, le thermomètre affiche 24 degrés à l'abri, nous en profitons.
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« … Là, tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté...»
Charles Beaudelaire, (1821-1867), poète français (L'invitation au voyage)
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| La vélodyssée |
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| Je préfère être ici que sur la route nationale au-dessus du pont |
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| Joufflue sont les sacoches de mon vélo |
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| Par ici nous allons retrouvé le chemin cyclable dans la forêt |
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| Ah le voilà |
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| ...Beauté, calme.. |
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| Nous avons terminé nos lecture précédentes et nous commençons pour l'un un nouveau policier ou thriller ! et pour l'autre la suite des occupants de la pension chez Peggy Reilly |
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