Le vent s'est levé chassant la brume matinale
pour laisser place au soleil.
Sur le marché, c'était la pagaille. Une foule
de gens de plusieurs pays se croisaient, se touchaient, se
bousculaient. Nous ne sommes pas restés longtemps. Juste le
temps de faire un léger tour pour aller nous ravitailler, non pas
sur le marché, mais dans le petit supermarché, sur la place, au
bout des étals derrière les bistrots.
Nous avons pris le chemin vers le lac marin de
port Albret. C'était bien plus tranquille même s'il y avait
quelques piétons, quelques coureurs ou vélo-cyclistes voire des pêcheurs.
Faire le tour du lac marin est un vrai bonheur.
Traverser des pins, longer des plages, franchir les deux passerelles,
regarder les pêcheurs, admirer les maisons basques c'est vraiment
divertissant.
Demain, nous plions, nous irons faire des tours
à vélo, plus loin, dès lundi.
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«Accepter les
dépendances que nous impose la nature, c’est la sagesse ; les
aimer, c’est le bonheur.»
Bernard
Grasset (1881-1955), éditeur français
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| Lorsque nous sommes partis, la brume s'élevait |
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| Le lac marin |
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| Nous allons aller de l'autre côté, près de la plage |
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| Le soleil est de retour |
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| Quelle cacophonie ! |
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| Un petit tour au supermarché |
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| Un des parkings à vélos |
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| Attend moi, j'arrive ! |
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| Une des passerelles |
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| Et voici la seconde que nous venions de franchir |
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| La plage devant les maisons basques |
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| Un petit coin de paradis |
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| Un des pêcheurs à la ligne (bar) |
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| Reflet sur l'eau |
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| Chut ! Ici c'est calme |
À demain, pour une nouvelle aventure et découverte !
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