mercredi 17 mai 2023

Évidemment !

La description de la gare de «leconomiste» ne correspondait vraiment pas à la mienne dans mon article d’hier. Évidemment, puisqu’il s’agissait de la gare routière pour l’un et de la gare de chemin de fer pour l’autre. D'autant plus que je n'ai été pas très attentive car j'avais bien écris : "C’est la municipalité de la ville qui est chargée de la gestion de la gare routière."...

Je ne prendrai pas, non plus le car, mais curieuse comme je le suis et surtout assoiffée de connaître, j’aurai aimé prendre mon sac sur le dos et aller voir. Il tombe de la pluie orageuse. Le tonnerre gronde. Instantanément les sols sont détrempés. Je préfère rester dans la patouille. Nous profitons de tout nettoyer : carrosserie, tapis, fauteuils, dernière lessive. Cette dernière est étendue sous le auvent. Oh il n’y a pas beaucoup de frusques : quelques sous-vêtements, deux shorts et un maillot, le mien. Je ne lave pas souvent les maillots de Phil. Pour ceux ou celles qui le connaissent il est souvent torse-nu. Alors !

La température a chuté, le thermomètre n’affiche que 20 degrés. Nous avons enfilé nos légers polaires.

Dès que le soleil reviendra, en fin d’après-midi, l’ensemble séchera et nous plierons. Et oui, le départ approche et il est bien possible que nous l’avancerons d’une journée voire deux. L’horaire de bateau, ne change pas. Les visites chez les amis et dans la famille non plus.

***

«Les nuages sont au ciel ce que la mer est à notre terre... Il faut donc être au-dessus des nuages pour que nos yeux s'y baignent..»

DESCREA, auteur parolier

***

La gare routière d'Asilah
Image du Net

Image du Net

Image du Net

De la pluie d'orage

Dans la patouille

À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Articles les plus consultés