C’est
fou le nombre indéfini d’étals sur le grand marché déployé,
dans toutes les rues tentaculaires, de la cité
médiévale de Sarlat. C’est
dingue le monde grouillant autour des présentoirs. Pour
apercevoir les monuments, les commerces et les habitations il
faudrait
mieux revenir un autre jour car
les badauds et les parasols
gênent
la perspective.
On se croisait, on se
bousculait. Certains, en groupe, ne trouvaient pas mieux de converser
au milieu d’une allée étroite. Des chiens se promenaient au bout
d’une longue laisse et barraient le passage. Il fallait vraiment
faire attention à tout : en haut pour ne pas se cogner à un
article suspendu, en bas pour ne pas se prendre les pieds dans une laisse de
chien ou une roue de
poussette, sur les cotés ou
devant pour ne pas toucher les passants. Entre les lunettes et le
masque je peux vous assurer que ce n’était pas amusant.
Quelle
chance que nous ayons trouvé un restaurant bien sympathique dans
lequel nous nous sommes réfugiés dans la cour intérieure. En plus
le repas était
un régal.
Et, pour digérer, nous avons été nous balader dans le jardin
public du Plantier.
«Foule -
Elle est faite de tout le monde, mais tout le monde a horreur de la
foule.»
-
Pierrre Daninos
- Écrivain et humoriste français -
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Une marée de parasols |
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C'est la région ! |
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Là aussi ! |
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Eh oui, le Périgord |
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Quelques achats ici |
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Cette visite s'impose |
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Ah bon ! |
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Ouille, et il n'est que 10 heures |
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Encore ! |
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Nous n'étions pas en Bretagne pourtant !
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Foie gras pour mon chéri pendant que je déguste une salade composée |
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Poisson désarêté pour moi |
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Et cassoulet pour Phil |
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Un délice cette tarte au noix avec un voile de crème anglaise |
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Un tour dans le jardin du Plantier |
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Un dernier tour avant de reprendre la navette du retour |
À
demain pour de nouvelles aventures et découvertes !
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