Il fait encore très chaud aujourd’hui. Nous sommes partis, à pied, en maillot de bain, en direction du lac, face à notre camping-car. Il ne s’agissait pas de nous poser sur la plage pour lézarder au soleil. Nous avons avancé pas à pas vers l’étendue cristalline. Les vaguelettes, formées par la brise, sont venues nous lécher les doigts de pieds. Nous avons continué à cheminer. L’eau tiède nous caressait les chevilles, les mollets, les cuisses, le ventre, la poitrine. Nous étions déjà aux trois quarts du lac. Nous n’avons pas osé le traverser de peur d’être percuté par un bateau ou une planche. Pourtant, ce n’était pas l’envie qui nous manquait. Car, de l’autre côté, il y a le «petit Tahiti» !
Dans cet endroit splendide, il n’y a ni montre, ni portefeuille, ni téléphone, ni appareil photos. Je suis revenue sur la plage pour immortaliser l’endroit magique.
«...Tourne ton regard vers l’infini. Ne reste pas rivé sur les choses passagères, mais vers l’infini, l’infini contenu en toute chose, même la chose la plus simple ou éphémère. Qu’est-ce que l’infini ? L’infini n’est autre que le présent pleinement vécu et accueilli...»
Fabrice Midal
(Merci Sylvie)
Nous sommes allés jusqu'au poteau là bas |
Vous le voyez, après les roseaux ? |
Nous avancions tranquillement |
Nous y étions juste à sa hauteur |
À demain pour de nouvelles aventures et découvertes !
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