samedi 20 avril 2024

Le choix de la nourriture

Le ciel est couvert aujourd'hui. Parfois la couverture laisse passer un rayon de soleil. Le mercure affiche 24 degrés. Il n'y a pratiquement pas d'air et l'indice UV est élevé : 6.

C'est le week-end, ni le jour du poisson, ni celui du couscous et pourtant ! Le marchand de «possons qui bougent» est arrivé. Dans la nasse en osier, attachée sur le porte bagages de sa mobylette, sur des soles frétillantes il y avait un thon rouge de 3 kg. Comment aurais-je pu laisser passer ce scombridé frais ? 300 dirhams soit 28 euros ou 9,30 euros le kilo ?

La propriétaire du camping nous a offert un couscous. Un vrai. Vrai, car il était délicieux. Assaisonné à souhait avec des pois chiches. C'est la première fois que nous nous régalons avec ce plat typique du pays. Bien souvent, ils sont cuisinés à l'huile d'argan. Mais là, je vous assure que nous nous sommes régalés. Il y avait également du poulet (pour Phil). Il en reste. Beaucoup ! Nous avons de quoi nous nourrir pendant quelques jours encore. Merci Saïda. Avant ce jour, les meilleurs couscous que nous mangions étaient en Tunisie mais jamais au Maroc, sauf chez Aziza et Ahmed. Cette fois, mon avis est différent.

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«La gastronomie est l'art d'utiliser la nourriture pour créer le bonheur.»

Theodore Zeldin, auteur

***

Nous profitons de la plage qui est à deux pas
et vous offre mes clichés







Une plage isolée ?
Non juste un peut de sable entre deux rochers







Je me suis renseignée...

...Il y a bien des hommes de l'armée de la marine dans
le phare de Pont Blondin


3 kilos la bête

Et de plus, il le prépare sur place

Dans une cuvette, les morceaux sont nettoyés avec
de l'eau (en bouteille)

Et hop, chaque morceau séparé
au congélateur

Le couscous de Saïda

Avec la sauce
À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !

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