Assilah,
n’est
même pas un village de
pêcheur ni une station balnéaire, c’est une belle petite localité
sur le littoral. Une petite médina dans laquelle il ne faut pas
oublier de fouler le sol.
Dommage
que le camping est très rudimentaire sinon beaucoup y resterait plus
longtemps. Nous mêmes, nous reprendrons la route demain.
«La liberté, c’est
la faculté de choisir ses contraintes.»
Jean-Louis Barrault
(1910-1994), comédien, metteur en scène et directeur de théâtre
français
Ah !
J’allais oublié de vous parler du temps. Hier, si la pluie nous
accompagnait sur le port de Algésiras, le soleil était au
rendez-vous à Tanger Med. Il semblait qu’il avait plu la veille
car le camping était légèrement boueux. Toutefois, l’astre était
là, ce qui m’a permis de faire une petite lessive qui a séché
aux rayons chauds car la température était de 20 degrés.
Puis,
depuis que nous sommes sur le territoire marocain, nous n’entendons
plus les cloches des églises sonner mais le muezzin appeler ses fidèles
plusieurs fois par jour, la première étant à 6 heures 30.
À Assilah, dois-je préciser que nous sommes entre deux mosquées ?
Aujourd’hui,
le ciel est bleu le
thermomètre affiche 23 degrés. Nous avons déjà chaud !
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Assilah la nouvelle ville qui a bien changé depuis notre dernière visite de par sa propreté |
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Une porte bien conservée |
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Dans la ville se dressent également le Centre de Hassan II Rencontres Internationales (espace d'exposition) et le palais de Raissouli, datant du début du XXe siècle. |
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La médina est un centre artistique réputé pour ses peintures murales et pour le Moussem, un festival culturel international annuel. Ici le mur du château blanc |
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La médina, est entourée de remparts et de portes bien conservés, construits au XVe siècle par les colons portugais. |
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Une magnifique porte protégeant un jardin |
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Les remparts derrière le parc |
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Des ruelles bien fleuries |
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Une fontaine décorative à Zellaka square |
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Taxi, sur la corniche. |
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L'Océan toujours calme |
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Et, admirez le bleu ! |
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C'est apaisant |
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Là vous n'avez pas tout vu, puisqu'il a une remorque longue comme la moitié de son camion ! |
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Nous sommes ici |
À
demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !
Les pavages sur le trottoir me rappellent ceux de Lisbonne avec leurs motifs géométriques.
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