Nuit sans sommeil

Lorsque le corps est fatigué, il est bien difficile d’endormir le cerveau. De plus, je savais que de nombreux travaux m’attendaient : shampooing et brushing, ménage, changement des draps, lessive, repas… Je ne dormais toujours pas à 2 heures. À 3 heures le coq a commencé à chanter (je l’avais oublié celui là), il a de la chance que je sois végétarienne. À 6 h 45 le Muezzin a appelé ses fidèles (je ne dormais toujours pas) !

«Ne te hâte pas, ne t’inquiète pas, ton séjour ici ne sera pas long, alors n’oublie pas de t’arrêter pour sentir les fleurs.»

Walter Hagan (1892-1969), joueur de golf. Il fut une grande figure du golf dans la première moitié du XXᵉ siècle

Par tous les interstices du camping-car le sable rose envoyé par la tempête d’hier s’était infiltré. J’ai nettoyé partout, du sol au plafond, je vous assure que notre logis est petit, mais des coins, il y en a beaucoup ! Chacun lessivait la carrosserie de son camping-car avec un peu d’eau d’une bassine, il y en avait qui était perché sur le toit pour nettoyer les panneaux solaires.

Du linge, il y en avait deux cordes entières, qui a séché au soleil en à peine une heure. Après avoir validé mon blog je repasserais. J’aurais l’esprit tranquille ensuite, je pourrais me reposer, lire et/ou réfléchir à mon prochain article.

La tempête s’est calmée, il n’y a plus un brin de vent et le thermomètre affiche 26 degrés à l’ombre. Pendant que j’écris, Phil, couché dans une chaise longue au soleil, termine de lire son thriller.

Souvenez-vous le nombre de photos que j'avais insérées dans mon blog pendant le confinement.
J'ai entendu les canards et les paons, je vais les chercher

À te voilà !

Tu as beau te cacher, je te vois.

Qui a un fusil ou une lance ?

Et, qui a une recette. Je dirais même des recettes compte tenu du nombre de volatiles...

À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !