De lourds véhicules

Il a plu trois gouttes hier, pourtant des averses avaient été annoncées par les météorologues. Il est vrai qu’au loin, au dessus des montagnes le ciel s’était noirci. Le vent soufflait en rafale faisant tournoyer de la poussière. Il en aurait cependant fallu un peu d’eau pour nettoyer les toits des camping-cars couverts de sable rose.

Dans une dizaine de jours, nous devrions être partis. Là bas dans les montagnes où il fait actuellement -2 degrés le matin. C’est pourquoi nous avons attendu un peu. Il paraît que le climat sera meilleur dans quelques semaines. Oh, il ne pleut pas là bas ! Mais… Il fait froid, enfin la nuit !

Alors que le ciel était ocre à l’Est ce matin, nous nous sommes bien chaussés pour aller fouler le sol poussiéreux du souk. J’apercevais les véhicules hauts bâchés dévaler la route qui serpente la montagne pour traverser l’oued asséché. Passer le rond-point ils remontaient péniblement la longue pente jusqu’au centre du village. Je suis certaine que le chauffeur ne pouvait pas passer la seconde vitesse. Alors que nous étions à pied, nous les dépassions. Lorsque l'engin, en surcharge, franchissait un ralentisseur ventru je l’imaginais reculant et glissant jusque dans le lit de l’oued. Les vitesses grinçaient, une fumée noire sortait du pot d’échappement… Parfois un ou deux hommes étaient déjà perchés sur les filets ou les bâches, recouvrant la cargaison, déjà prêt à envoyer les marchandises vers le sol.

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«La vie donne toujours une seconde chance qui s’appelle demain.»

Paul Fort (1872-1960), poète et dramaturge français

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Il ne reste plus qu’une journée pour partager votre galette, votre brioche, votre dessert.. sur ce blog. Envoyez-moi la ou les photo(s) de votre ou vos dessert(s), je les mettrais toutes en ligne le 31 janvier… J’ai déjà reçu de nombreuses photos, ce partage va être magnifique. Pensez à joindre à la galette, celle(s) de la ou des fève(s) !

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Un nouveau quiz se prépare pour le mois de février. Attention ! Il n’y aura que 14 indices.

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Ce n'est pas possible de pouvoir prendre son élan,
il y a un rond-point au centre entre les deux collines 

Les engins dévalent de la montagne

Pour remonter la côte

Cette voiture est aussi en surcharge

Dommage ! il y a des ralentisseurs

Il faut grimper, grimper

Bravo monsieur ! Vous avez atteint le haut de la colline 

Le sol à côté du souk est aussi poussiéreux 

En surcharge aussi !

Ils l'étaient également

Des commentaires ?

Le monsieur en haut du camion a voyagé ainsi

Un petit tour au super marché pour un approvisionnement de fromage
Vous savez, les grosses boites de "Vache qui Rit" !

Ce magasin "super marché" est tout simplement un hangar

Il y a du poids sur le véhicule

J'espère que ce camion a de bons freins

L'oued se jetant dans la mer est à sec

Là aussi, il n'y a pas une goutte d'eau

Ce camion arrive de la montagne, il va terminer sa descente
traverser le rond-point et remonter la pente pour aller alimenter le village en bouteille de gaz

Phil continue sa lecture.
J'ai terminé mon précèdent livre, j'ai commencé un autre

À demain, pour de nouvelles aventures et découvertes !