Sidi Ifni est une ville assez importante, comparable à Tiznit. Grand port de pêche envahi de chaluts chargés de sardines, la ville sait aussi se montrer discrète, voire secrète.
Le calme qui règne dans ses ruelles du centre-ville, dans ses parcs hérités de la présence coloniale espagnole, ou sur son «paseo maritimo» de la même époque, surplombant majestueusement la plage et l'océan, en fait un lieu de visite particulièrement agréable.
Si je vous avais détaillé les bons mille-feuilles de Ounara, je dois faire une publicité comparable des délicieux "swiges", les beignets locaux, qu’il est possible de déguster à l'entrée du marché, en centre-ville, accompagné du thé traditionnel ou d’un bon jus d’orange.
Comme chaque matin, nous sommes allés au marché acheter le pain et quelques fruits et légumes. Nous faisons une pause. Ce week-end le grand souk sera étalé sur la place principale au centre de la ville. Nous ne manquerons pas d’aller y faire un tour demain.
Nous allons attendre ici jusqu'à début février pour déposer notre demande de prolongation de nos visas. Le soleil est toujours avec nous. Le mercure monte dans la journée, et à l'abri, jusqu'à 26 degrés.
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«Le chemin le plus court vers la sérénité est de ne plus perdre son temps avec ce qui est inutile.»
Jean Gastaldi, auteur français
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Attention, il ne reste plus que 9 jours pour partager votre galette sur ce blog, envoyez-moi la ou les photo(s) de votre ou vos dessert(s), je les mettrais toutes en ligne le 31 janvier… J’ai déjà reçu plusieurs photos. Pensez à joindre à la galette, celle(s) de la ou des fève(s) !
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Aujourd’hui, je ne partage que quelques photos prises sur l’océan.
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